L’acharnement et l’entêtement des jeunes générations sur internet peuvent être agaçants, surtout lorsqu’ils se croient tout permis ! Mais rassurez-vous, tout le monde n’est pas prêt à accepter les caprices des millennials, comme ce propriétaire d’un hôtel et d’un café par exemple. Il a immédiatement décidé de réagir en lisant la requête « déplacée » d’une influenceuse âgée de 22 ans et s’est muni de sa meilleure arme pour lui répondre : son clavier
Le Charleville Lodge Hotel

La plupart des hôtels font tout leur possible pour satisfaire leurs clients. Ils leur offrent par exemple de délicieux petits-déjeuners ou répondent à leurs moindres caprices, mais la stratégie du Charleville Lodge Hotel de Dublin en matière de service à la clientèle est légèrement différente.
Voici le manager
Paul Stenson est le propriétaire et le gérant du Charleville Lodge Hotel et du White Moose Café. Et si ce nom ne vous dit rien, surfez sur les réseaux sociaux, vous ne pourrez pas le rater ! Il est du genre plutôt actif…
Une présence remarquée sur les réseaux sociaux
Ses deux business sont réputés être assez… audacieux sur les réseaux sociaux. Disons que Paul Stenson l’est en tout cas ! Il a ce qu’on pourrait appeler des « opinions impopulaires » sur le monde, notamment sur les tendances modernes et plus spécifiquement l’ensemble des millennials.
Vous avez vu le prix !
Paul Stenson n’hésite pas à dire ce qu’il pense, comme le prouve cette publicité qui précise que le service de son propre hôtel est « loin d’être excellent, vu le tarif que vous payez ». Clairement, P. Stenson est un homme qui va droit au but…
Des « petites natures »
En réalité, P. Stenson se retrouve souvent au cœur de controverses à cause de ses déclarations sarcastiques sur les réseaux sociaux. Il s’attaque aux végétaliens, à ceux qui ne boivent pas d’alcool et à ceux qui ne mangent pas de gluten en les qualifiant de « petites natures » qui « n’ont rien à faire dans notre café ».
Une taxe pour la gêne ?
Il a également été critiqué après avoir publié des messages cyniques, quoique drôles, sur les réseaux sociaux visant à se moquer de clients embêtants. Il a même été signalé aux autorités à cause de son « impôt sur les enfants qui crient » qui correspond tout de même à un supplément de 15 % à l’addition. Ça semble compliqué de ne pas froisser P. Stenson, et une influenceuse en a justement fait les frais.
Un email mystérieux
P. Stenson n’y va pas par quatre chemins et n’a pas hésité à s’exprimer après avoir lu un email en apparence ordinaire. La demande inhabituelle avait été envoyée par une Youtubeuse et influenceuse sur les réseaux sociaux.
Elle Darby

L’influenceuse en question, Elle Darby, ne voyait pas le problème : elle proposait de faire la promo de l’hôtel sur les réseaux sociaux en échange d’une chambre et de repas gratuits. Quelques nuits gratuites dans un hôtel ouvertement « potable », ça ne devrait pas être trop demander, si ?
Des partenariats réussis

E. Darby avait également pris soin de mentionner qu’elle avait boosté la visibilité d’une célèbre entreprise en difficulté, si jamais P. Stenson doutait de son impact : « L’année dernière, j’ai travaillé avec Universal Orlando en Floride, et ça a eu un impact incroyable pour eux ! »
La haine des millenials

Elle a conclu son email en confiant avoir « hâte de recevoir la réponse » de P. Stenson, ce qu’elle regrette sûrement aujourd’hui. La lecture de cet email a réveillé quelque chose en Paul qui avait quelques mots à dire à E. Darby et aux influenceurs en général.
Une réponse cinglante

Il n’a pas hésité à exprimer sa haine des influenceurs en lui envoyant une réponse cinglante. « Je devrais peut-être prévenir mes employés qu’ils apparaîtront dans ta vidéo au lieu d’être payés », a-t-il écrit. Il a ensuite cloué le bec d’E. Darby en partageant quelques chiffres.
Des centaines de milliers de followers

« Nous avons 186 000 abonnés sur nos deux pages Facebook, 32 000 sur Instagram et un misérable total de 12 000 sur Twitter », a-t-il confié avec sarcasme. Mais il n’avait pas encore terminé !